« La mutation du quartier de Preux passe donc dans un premier temps, par un travail sur la grande échelle. Il se raccroche au grand paysage par le système de parc et par l’insertion d’un équipement à l’échelle métropolitaine : la ferme urbaine.
Il y a aussi le travail à l’échelle du quartier, mené sur l’armature urbaine. Le maillage est redéfini, les voiries hiérarchisées en lien avec la croute bâtie qui l’accompagne.
Ainsi le projet de paysage est envisagé comme une ossature, support de l’ensemble des éléments programmatiques. Il s’agit de mettre en place les conditions optimales permettant par la suite de décliner le catalogue des interventions urbaine : les « PREUX-CIBLES ».
Ces possibles sont des outils de transformations du territoire, une manière de concevoir qui ne fige pas le processus de projet. »